Afrique : Saïd Penda, un mercenaire médiatique au service d’intérêts inavouables contre EBOMAF
Depuis quelque temps, un nom revient avec insistance dans les tentatives de déstabilisation ciblée contre le Groupe EBOMAF : Saïd Penda. Journaliste autoproclamé d’investigation, personnage au passé trouble et à la réputation sulfureuse, ce mercenaire de l’information s’est reconverti en instrument de chantage et de dénigrement sur commande, visiblement utilisé par des opérateurs aux motivations peu claires pour s’attaquer à l’un des fleurons de l’économie ouest-africaine tel que le Groupe EBOMAF et son patron Monsieur Mahamadou Bonkoungou.
Selon des sources concordantes, Saïd Penda aurait été aperçu à plusieurs reprises dans les locaux de la direction d’EBOMAF, pour offrir ses services comme à son habitude. Sa ligne d’attaque est limpide : salir, insinuer, calomnier. Tout cela pour quoi ? Parce que le Groupe EBOMAF, fidèle à ses principes et à l’éthique entrepreneuriale, a refusé de céder au chantage et de graisser la patte de ce pseudo-journaliste, dont les services seraient monnayables au plus offrant.
Il ne s’agit pas ici de liberté d’expression ou de critique constructive, mais d’une stratégie de sabotage médiatique, motivée par la corruption et le règlement de comptes. Ces pratiques déshonorent non seulement la presse, mais ternissent gravement l’image de la Côte d’Ivoire, en faisant croire à l’international que le pays est un terrain fertile pour la manipulation, les attaques ciblées et les règlements d’intérêts privés par voies médiatiques.
Les autorités ivoiriennes doivent ouvrir les yeux, car les agissements de Saïd Penda nuisent à la crédibilité du paysage médiatique et économique du pays. Un pays qui aspire à l’émergence ne peut tolérer que des individus manipulés se fassent les porte-voix d’intérêts privés, au mépris de la vérité et de l’intérêt national.
Le Groupe EBOMAF, engagé dans des chantiers majeurs pour le développement de la sous-région, n’a pas vocation à répondre à la calomnie, mais à poursuivre son travail au service de l’intégration africaine et du progrès économique. Il est temps de mettre un terme à ces attaques indignes, et de distinguer les vrais journalistes des mercenaires de l’information comme Saïd Penda .
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