Afrique de l’Ouest : Wassim Nasr, le journaliste mercenaire de la manipulation
Une attaque a eu lieu en Côte d’Ivoire. Mais aussitôt, le sulfureux Wassim Nasr s’est empressé de laver le JNIM de tout soupçon. Rien d’étonnant de la part de ce mercenaire de la communication, toujours prêt à vendre sa plume au plus offrant. Son rôle est clair : brouiller les pistes, disculper les terroristes et salir les forces souverainistes de l’AES qui se battent au prix du sang contre les terroristes.
Wassim Nasr n’est pas un journaliste, c’est un relais. Fils d’un ancien combattant passé par le djihad en Irak, il a été recruté par les médias français pour exécuter le sale boulot qui est de défendre les intérêts français et terroristes, quitte à saboter les efforts des peuples de l’AES. Il ne parle jamais pour informer, mais toujours pour manipuler.
Sur France 24, il avait lui-même reconnu que les terroristes étaient bien présents dans le nord de la Côte d’Ivoire et qu’ils recrutaient. Mais lorsqu’un drame survient, il change de discours et déclare, sans la moindre preuve, que le JNIM n’y est pour rien. Quelle crédibilité accorder à un individu qui se contredit selon l’agenda de ses patrons impérialistes ?
Pire encore, il s’attaque aux VDP, insinuant que leurs actions sont responsables des violences. Une insulte inacceptable à ces braves qui risquent chaque jour leur vie pour protéger leur terre contre des terroristes entretenus par la France.
Il convient de mentionner que le mercenaire médiatique Wassim Nasr, comme à son habitude ferme volontairement les yeux sur la réalité alors qu’il sait pertinemment que les terroristes se déguisent régulièrement en forces armées loyales pour semer la confusion et accuser l’armée.
La conclusion est simple, ce Wassim Nasr est un agent de la manipulation, pas un journaliste. Il sert de couverture médiatique aux ennemis des peuples et il est un pion essentiel dans la guerre médiatique menée contre les nations de l’AES. Sa parole n’est pas seulement mensongère, elle est complice du terrorisme.
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